Prudence Léonie Sanders

❝ If you can dream it, you can do it ❞

©COLORMEHOLLYWOOD

I love the way you lie.

Moi, c'est Prudence Léonie Sanders, mais tout le monde m'appelle Léo'. J'ai 23 ans car je suis né(e) un certain 23 février 1988 à Londres, qui se situe en Angleterre. Je suis anglaise et possède des origines italienne et anglaise. Je parle le français, l'italien et l'anglais mais ma langue natale est l'anglais. En dehors de cela, ma famille se compose de ma sœur et moi, étant donné que mes deux parents sont morts . Tandis qu'au niveau financier, elle se situe dans la classe social aisée. En ce moment, je suis célibataire tout simplement parce que le prince charmant n'es pas encore arrivé mais je l'espère un jour . Sinon je suis danseuse . On dit de moi que je suis tendre, attentive, jalouse, courageuse, possessive, drôle . Je fais également parti du groupe Love will come. On dit souvent que je ressemble étrangement à Mila Kunis.

You are the only one.

« Prudence, Prudence, Prudence ! », tous les habitants de Londres semblaient prononcer mon nom, je n’étais pourtant que dans un bar. Assise sur un tabouret miteux, je défiais un gros routier à un concours de vodka. Le routier me lança un regard noir il n’avait pas l’intention de se laisser battre par une gamine de dix-neuf ans. Je le fixai de la même manière, ce n’était plus un défi pour lui son honneur et sa virilité était en jeu. Les règles étaient très simple, le premier qui rend ce qu’il à but à perdu. Lui et moi en étions déjà à notre cinquième verre, mon adversaire semblait montrer des signes de fatigues. Quant à moi, tout semblait aller pour le mieux, j’avais juste l’impression que j’étais dans un manège à sensation forte mais je ne me sentais pas prête à vomir ce que j’avais bu. Le barman nous resservit un verre, nous le prîmes dans nos mains : « Prête ? » me dit de sa voix grasse le routier. J’hochai la tête en signe d’approbation, les autres clients firent le décompte « 3,2 … 1 » puis j’engloutis le verre cul-sec. Mon adversaire préféra le boire par petite gorgés comme un adolescent qui goute pour la première fois à l’alcool. Le public de ce concours m’applaudit tandis que ma tête tournait de plus en plus vite, il me fallait m’agripper au meuble du bar pour ne pas tomber à la renverse. J’avais trop forcé sur l’alcool ces quelques temps mais la fête avait eu raison de moi, la tentation de m’amuser et de rire avait été trop forte. Ma famille était remplie de gens coincés, bourrés d’hypocrisie qui ne pensaient à rien d’autre que l’image qu’ils renvoyaient aux autres. Même mes propres parents, qui m’avait pourtant mis au monde et choyé pendant quelques années ne semblait pas prêter attention à leur fille ainée. Alors je m’enfermais dans la fête et la débauche pour qu’on remarque que j’existe. J’avais envie qu’on me considère comme une personne vivante à part entière plutôt que de me considérer comme une partie du décor, qui ne parle pas et qu’on façonne comme on en a envie. Je voulais que ma famille ouvre les yeux sur moi alors quoi de mieux que d’attirer leur attention. Ma tête avait finit par arrêter de tourner, j’étais prête pour un autre verre. Mon adversaire semblait peiner à la tâche, on aurait dit un gros porc mouillé car il transpirait beaucoup, son odeur était repoussante. « Alors on abandonne ? Je pensais que les routiers étaient plus costauds que ça. », Mon adversaire me fit les gros yeux genre « Ne me provoque pas ou je t’écrase sous mon poids », en réponse je lui fis un petit sourire malicieux en signe de défi. Je savais que j’allais gagner ce défi, il n’était pas assez résistant à l’alcool pour gagner. Il semblait prêt à vomir sur le sol du bar son visage était de plus en plus rouge, il allait perdre. Je me réjouis à l’idée que la victoire serait proche, après ça le routier aurait perdu toute crédibilité auprès de ses collègues, perdre contre une jeune minette la honte pour un gros macho comme lui. D’un signe de la main le routier commanda deux autres verres, il voulait aller jusqu’au bout pour perdre. Un petit regard qui tue avant de s’enfiler le verre à une vitesse rapide. Soudain, le routier se leva de sa chaise avant de se ruer vers les toilettes des hommes. Les clients applaudirent, j’avais gagné le défi. J’étais fier de l’avoir fait : « Puisque j’ai gagné tu paiera l’addition gros lard ! » criai-je pour qu’il m’entende depuis la cuvette des W.C. La frénésie du jeu m’avait emporté, j’avais envie de recommencer et de prendre le double de ce que j’avais bu auparavant : « Hey toi ! Mets-moi la même chose »

Je me réveillai avec une épouvantable migraine, qu’avais-je donc fait pour l’avoir ? J’ouvris les yeux avec peine, j’étais dans ma chambre. Une seule question me venait à l’esprit : Comment étais-je arrivé là dans mon état ? C’est alors que je vis assis sur mon fauteuil le personnage le plus détestable qui soit : ma mère. Elle me dévisageait avec de la honte dans son regard, je n’étais pas resté à la maison à lire comme une jeune fille rangée et studieuse. Elle était sûrement là depuis un bout de temps à me regarder dormir en cherchant quelles remarques blessantes elle pourrait me lancer au visage quand je serai éveillé. Je voyais déjà son pitoyable discours pour tenter de me faire changer, les menaces qu’elle allait proférer à mon égard. J’avais l’habitude de ses remontrances cependant aucun de ses savons n’avait réussi à me faire changer, au contraire plus elle insistait et plus je poussais encore plus loin pour qu’elle remarque que son éducation ne m’avait aucunement servi. J’avais envie d’échapper à son discours soporifique si bien que lentement j’essayai de sortir de mon lit. Ma tête me l’interdisait à peine posé le pied à terre ma tête virevoltait dans tout les sens manquant de me faire tomber. J’entrepris de retourner me blottir sous ma couette quand ma vieille chouette de mère brisa le silence : « Tu comptais aller où comme ça Prudence ? ». Sa voix résonnait comme un écho dans ma tête, si fort que j’avais cru qu’elle me hurlait dessus. La suite de la conversation allait être périlleuse. Je sentais son regard de vipère fixé sur moi, je ne connaissais que trop bien ce regard, il ne m’impressionnait plus maintenant. « J’allais descendre pour boire quelque chose mais j’ai trop mal à la tête alors je vais rester là, tant pis si je me dessèche », puis d’un seul coup elle se releva, je l’entendis descendre les escaliers rapidement. Elle remonta quelques minutes plus tard avec un verre d’eau, elle me le tendit tout en me fixant méchamment, je le pris et le bu d’un trait. « Je comprend mieux pourquoi tu es revenue dans cet état hier si tu bois aussi vite que ça », elle m’adressa un petit sourire mauvais, elle semblait contente de sa remarque débile. Je fis mine d’être affecté par son petit pic mais c’était pour mieux la renvoyer balader après. Elle était toujours comme ça avec ses airs d’autosatisfaction et de plaisir à emmerder le monde, elle était détestable. Elle pensait qu’aucune de ses deux filles ne réussirait sans son aide précieuse, selon elle nous étions incapables de réussir toute seule. « Au moins je me suis amusée et je n’ai pas passé ma soirée avec une bande de cul-serrées à vouloir épater la galerie », ma mère savait que je pensais cela de ses amis mais elle ne s’était jamais doutée que je pourrai le dire à vois haute. Encore un de ses préjugé visant à penser que ses filles n’avaient pas la franchise nécessaire pour argumenter un discours et faire valoir leurs opinions. « Cette soirée à été enrichissante et amusante je dois dire », elle essayait de me mentir mais je devinais toujours quand elle le faisait. Elle avait le don de soudainement croiser ses jambes, ma mère n’avait jamais été une femme discrète. « Aussi amusante qu’un soirée Scrabble au club du troisième âge. De toute façon là n’est pas la question, si j’ai bu c’était pour m’amuser, ne vas pas croire que je suis alcoolique ». Et pourtant c’était bien ce qu’elle pensait de moi, elle n’osait pas le dire mais elle le pensait si fort que tout Londres devait le savoir. Elle était pire que Margareth Thatcher ainsi que tout les autres dictateurs réunis dans la même pièce, cette femme était méchante, hypocrite, fausse, malveillante, jalouse, et encore plein de défauts. Elle n’était en rien la mère que tout le monde rêve d’avoir. « Tu te rend compte de la honte que j’ai subi en allant te chercher dans ce bar miteux de la classe moyenne ?! De quoi avais-je l’air devant tous ces alcooliques chroniques, moi qui récupérais ma fille ? Tu ne tenais même plus debout, j’étais humilié, penses à ma réputation bougre d’idiote ». Il ne lui arrivait pas souvent d’être en colère, seulement quand cela avait un rapport avec l’image qu’elle renvoyait aux autres. Je pense qu’elle allait trop fort sur les mots, elle voulait me faire culpabiliser sinon pourquoi tout ce cinéma pour rien ? « Ce n’est pas honteux de se saouler dans un bar, et ta classe moyenne comme tu dis si bien est beaucoup plus accueillante que tes amis que tes amis bourgeois qui père plus haut que leur cul. Tu sais quoi j’en ai marre de vous, vous me cassez les pieds, j’avais prévu de te le dire dans une semaine mais je n’en peux plus de vous supporter. Je vais intégrer une compagnie de danse à Paris, je vais habiter là bas, loin de vous, et je serais enfin soulager de ne plus avoir à vous supporter à chaque seconde de ma vie ».

My heart is blue for you.

©Google images

Malgré que je n'aime pas trop parler de ma petite personne je vais le faire juste pour vous (aa). Je m'appelle Léa, je suis actuellement âgée de 16 ans et je vis en France dans un petit village pommé de l'hexagone. Je me passionne depuis toute petite pour l'écriture, je maitrise mieux l'art des mots que celui de mon pinceau. J'entretiens une relation très tendu avec les mathématiques et les arts plastiques. Parlons plus de mes goûts, je suis une fan démesuré de série télévisée en tout genre, j'adore le cinéma, le sport et la mode. En ce qui concerne mes acteurs favoris je suis fan de Mila Kunis, Nina Dobrev, Amber Heard, Lea Michelle & Dianna Agron. Niveau mec je suis plutôt: Ian Somerhalder, Paul Wesley, Ashton Kutcher, Ed Westwick.Si l'envie vous prend de vouloir faire la connaissance de cet être étrange qui s'est inscrit sur votre forum ma boite MP est grande ouverte (:

Welcooooome =D
La belle Mila*o*

Apple ; Je crois qu'il faut que tu attendes d'être validé pour poster ailleurs :s